CI-Kokumbo : 24 heures de  « bienfaisance au profit des femmes démunies » 

La chantre Béïbro réalise son rêve

CI-Kokumbo :  24 heures de  « bienfaisance au profit des femmes démunies » 
La chantre Marie-Louise Béïbro, initiatrice de la «Journée de bienfaisance ». (Ph : dr)
CI-Kokumbo :  24 heures de  « bienfaisance au profit des femmes démunies » 
CI-Kokumbo :  24 heures de  « bienfaisance au profit des femmes démunies » 

Un événement d’importance capitale se prépare à Kokumbo, dans le Centre du pays, à quelques kilomètres de Yamoussoukro, la capitale politique et administrative : « la Journée de bienfaisance » au profit des mamans les plus démunies de la sous-préfecture. Cette grande manifestation à caractère social et humanitaire se déroulera samedi 29 mai 2021, à l’initiative de la chantre de renommée internationale, Marie-Louise Béïbro, ressortissante de cette localité.

 

Depuis quelques mois, c’est le sujet qui alimente conversations et commentaires, tant dans la ville de Kokumbo que dans toute la circonscription administrative de la région. La paroisse « Notre Dame des Monts » de la ville accueille cette manifestation qui démarre à 9H. A 20h, un giga concert aura lieu sur l’esplanade (de la paroisse). Plusieurs artistes sont invités à cet événement, le premier du genre à être organisé à Kokumbo par une fille de la région.

 

Cette journée est un rêve que l’initiatrice a toujours caressé. Elle l’a soumis au Seigneur qui vient de lui donner la possibilité de le réaliser.  Le Seigneur a dit dans « Parole » de « toujours partager avec ceux qui n’en ont pas. Pour que la joie soit totale, parfaite et ait son onction afin qu’il bénisse le donateur ou la donatrice ». Agissant conformément à la Parole du Seigneur Jésus-Christ, en tant que servante de Dieu, la chantre Marie-Louise Béïbro a décidé de partager la grâce que le Seigneur lui a faite.

 

Elle n’organise pas cette journée pour elle-même, mais pour magnifier Dieu, et venir en aide, modestement, aux mamans, à ses mamans, les plus démunies de sa région, à ses mamans qui regardent une frange de la société plus nantie avec parfois de l’envie.

 

Justin Kassy